Lucy Lawless est actuellement en couverture du magazine Gay néo-zélandais Express. Dans ce magazine, vous pouvez découvrir une interview de Lucy à propos de la prochaine comédie musicale Chicago, de ses rôles dans les séries télévisées, de ses actions pour notre planète, etc. Vous pouvez lire l’interview ici.
Voici quelques extraits de l’interview:
Le rituel de Lucy avant un show: « C’est très méditatif, faire votre propre maquillage. Idéalement, je fais une séance de yoga hardcore et ensuite, je viens me réchauffer avec le casting et je commence mon maquillage de préparation et avant que vous savez … le show commence! «
« Je dois dire que je travaillais dans la cambrousse australienne récemment et j’ai été reconnue et abordée beaucoup plus souvent que jamais je ne l’ai été en Nouvelle-Zélande. Xena était un énorme succès en Australie, mais j’étais toujours choqué de voir que j’étais dans la brousse mais que j’étais tellement reconnue! «
« Je me spécialise dans des personnages bizarres. Vous savez, j’ai tendance à être effectivement attiré vers le bizarre. J’aime un peu l’étrange! « Elle raconte son rôle de Lucretia dans la série Spartacus qui était le rôle le plus difficile qu’elle n’ait jamais eu à jouer. « Le tout était difficile. Les scènes de sexe ont été horribles et tout l’ensemble, c’était un personnage vraiment épuisant. »
« J’adore ça. Dieu ouai! J’aime mes fans, peu importe d’où ils viennent ou ce qu’ils font. Je ne suis rien sans eux. Les lesbiennes étaient spécifiquement les premières qui se sont accroché à la série Xena. Et j’ai toujours été immensément reconnaissant de cela. «
Voici une exclusivité Lawless …« Je suis pointilleuse sur la façon dont les gens remplissent le lave-vaisselle! »
[spoiler show= »Show the news in English »]
Lucy Lawless is currently on the cover of gay magazine NZ Express. In this magazine, you can find an interview with Lucy about the upcoming musical Chicago, for his roles in the television series and of its shares for our planet, etc. You can read the interview here.
Excerpts of interview:
“I must say, I was working in the Australian outback recently and I was recognised and approached far more often than I ever get in New Zealand. Xena was enormously& successful in Australia but I was still shocked that I was in the outback and was getting recognised so much!”
It’s quite meditative, doing your own make up. Ideally I’ll do a hardcore yoga session and then come warm up with the cast and start my make up prep and before you know it… showtime!”
“I love it. God yeah! I love my fans no matter where they come from or what they’re about. I’m nothing without them. The lesbians were specifically the first ones who grabbed onto the Xena fandom and announced it as their own and it’s their own groove. And I’ve always been immensely grateful of that.”
“I live so quietly in New Zealand. Nobody cares! And I’ve got to be honest, it’s never been desirable for me to hone my profile and I’ve never tried to be in the women’s magazines. I’ve been amongst you the whole time and you didn’t know!”
“I specialise in weird characters. You know, I tend to actually be drawn to towards the weird. I like a bit of strange!” She tells me her role as Lucretia in the Spartacus series was that hardest role she’s ever had to play. “The whole thing was hard. The sex scenes were gruesome and just overall it was a really gruelling character.”
“Okay. Here’s a secret for you… I’m pernickety about how people fill the dishwasher!”
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