On retrouve donc nos deux héroïnes, en pleine forêt, et surtout se faufilant tant bien que mal au milieu d’une bataille opposant les Messéniens aux Thessaliens. Elles trouvent Ephiny, enceinte, sans Phantès, le Centaure dont elle attend un enfant. Elle est sur le point d’accoucher, Xena doit trouver une solution :
Gabrielle : « I can’t bear to think of all the innocents who suffer because of this madness. Someone has to stop it. Come on, Xena– not even you can stop an entire war. All right! Well look– I did not mean that as a challenge. »
Xena : « Stay here with Ephiny. »
G : « What are, what are you going to do? »
X : « I’m gonna find a safe place for Ephiny to have her baby. And then I’m gonna stop this war. »
G : « I’ve got to learn to keep my mouth shut. »
Gabrielle : « Je ne peux pas supporter de penser à tous les innocents qui souffrent à cause de cette folie. Quelqu’un doit arrêter ça. Allez, Xena– pas même toi ne peut arrêter toute une guerre. Très bien! écoute– je ne ne voulais pas parler de ça comme d’un défi. »
Xena : « Reste ici avec Ephiny. »
G : « Que, que vas-tu faire? »
X : « Je vais trouver un endroit sûr pour qu’Ephiny puisse avoir son bébé. Et ensuite, je vais arrêter cette guerre. »
G : « Je devrais apprendre à me taire. »
Gabrielle parle parfois (souvent) trop, et elle se rend compte que certaines personnes peuvent la prendre au sérieux, une en particulier d’ailleurs…
Xena trouve un temple, et en ces temps de guerre, les temples servent de refuge aux blessés. Sur le chemin, elle a blessé un Messénien, et l’a ensuite emmené avec elle. Notre belle bande de bras cassés se rend donc dans ce temple tenu par des Thessaliens. On s’aperçoit que la méthode de guérison de ce temple est l’unique prière à Asclépios. Xena sauve un blessé (avec l’aide de Gabrielle bien sûr ), de par sa grande expérience sur les champs de bataille, tout ça sous l’oeil « intéressé » de deux apprentis :
Hippocrates : « That’s amazing. »
Democritus : « She is beautiful. »
Gabrielle : « Men. »
Hippocrate : « C’est incroyable. »
Démocritos : « Elle est magnifique. »
Gabrielle : « Les hommes. »
à noter, l’air dépité de Gabrielle quant à ce que sont les hommes… Mais dites-moi, ne serait-elle pas en train de virer sa cutie?? Coquine…
Marmax, le soldat (qui est bien plus gradé en fait, il est général, oui Monsieur!) que Xena a blessé mais ramené quand même, se fait soigner par Gabrielle, qui nous fait un petit retour en mode barde :
Marmax : « Tell me a story. »
Gabrielle : « OK. There was once this king– his name was Libarius. He was a brave warrior– a great hunter. »
Marmax : « Hah! I like it already. »
G : « He was so proud of his hunting skills, that he decided to test them in the sacred forest– of the great goddess Artemis. »
Marmax : « That sounds like a mistake. »
G : « She was so angry with him that she turned him into a deer. »
Marmax : « He became the hunted– the worst thing that can happen to a great hunter. »
G : « That’s what he thought, at first. But then he became so fond of the peaceful ways of the deer, that he actually grew to love them. Of course, he still missed his friends and family, which made him very sad. So Artemis took pity on him– turned him back into his human form. »
Marmax : « A happy ending. But what a nightmare– a warrior having to live the life of a deer. »
G : « Actually, it was the best thing that ever happened to him. He became a better king after the experience– a much happier man. »
Marmax : « Why is that? »
G : « ‘Cause he learned that the true secret of life– is to find peace in yourself– and to share it with the world. »
Marmax : « It’s a pretty story. Too bad it has nothing to do with– real life. »
G : « Life is only what you make of it. »
Marmax : « Raconte moi une histoire. »
Gabrielle : « Très bien. Il était une fois un roi– son nom était Libarios. C’était un courageux guerrier– un grand chasseur. »
Marmax : « Hah! J’aime déjà. »
G : « Il était si fier de ses qualités de chasseur, qu’il a décidé de les tester dans la forêt sacrée– de la grande déesse Artémis. »
Marmax : « Ca l’air d’être une erreur. »
G : « Elle était si en colère contre lui qu’elle l’a transformé en cerf. »
Marmax : « Il est devenu la proie– la pire chose qui puisse arriver à tout grand chasseur. »
G : « C’est ce qu’il pensât, au début. Mais ensuite, il devint si envieux de la tranquillité du cerf qu’il commença à l’aimer. Sa famille et ses amis lui manquaient, bien sûr, et ça le rendait vraiment triste. Alors Artémis eût pitié de lui– lui rendit sa forme humaine. »
Marmax : « Une fin heureuse. Mais quel cauchemar– un guerrier devant vivre la vie d’un cerf. »
G : « En fait, c’était la meilleure chose qui lui soit jamais arrivée. Il devint un meilleur roi après cette expérience– un homme bien plus heureux. »
Marmax : « Pourquoi ça? »
G : « Car il a apprit que le véritable secret de la vie– c’est de trouver la paix en soi– et de la partager avec le monde. »
Marmax : « C’est une belle histoire. Dommage qu’elle n’ait rien à voir avec– la vraie vie. »
G : « La vie n’est que ce que tu en fais. »
à retenir, la morale que Gabrielle en tire. Se battre pour ce que l’on croit être juste, façonner la vie à son image, plutôt que de laisser d’autres décider pour vous. (ouah)
Des blessés sont amenés, et l’un deux décède malgré les soins de Gabrielle. Xena sait rester terre à terre, et elle a raison, il le faut surtout lorsque les temps sont durs :
Xena : « Gabrielle, stop– stop. It’s over, just let him go. »
Gabrielle : « Why? We tried so hard. We worked so hard. Why? »
Galen : « I told you, only Aesclepius can choose who lives and dies. Now you’ll see his power. »
X : « He lost too much blood. It’s as simple as that. »
Galen : « You can’t heal that, can you? »
X : « No, I can’t. »
Xena : « Gabrielle, arrête– arrête. C’est fini, laisse-le partir. »
Gabrielle : « Pourquoi? On a tant essayé. On a tant travaillé. Pourquoi? »
Galen : « Je te l’avais dit, seul Asclépios peut choisir qui vit et qui meurt. Maintenant tu vas voir son pouvoir. »
X : « Il a perdu trop de sang. C’est aussi simple que ça. »
Galen : « Tu ne peux soigner ça, n’est-ce pas? »
X : « Non, je ne le peux pas. »
Xena a certes de grandes capacités curatives, mais de là à lui demander de soigner une hémorragie avancée… Mouais, c’est un peu de la mauvaise foi, ça, M’sieur Galen! Mais bon, il ne doit pas savoir grand chose de la médecine non plus.
On se retrouve un peu aux urgences antiques, y’a du sang partout, des blessés dans tous les coins, ça braille, et surtout, ça soigne. Gabrielle s’occupe d’un patient, sous le regard de Démocritos, qui nous fait son Don Juan :
Gabrielle : « Is that better? »
Man : « Much better. Thank you. »
Democritus : « That was wonderful. »
G : « What? »
Democritus : « Well, the way you relieved that man’s pain. »
G : « It was the salve. »
Democritus : « No, it was your voice and your smile– You gave him a sense of peace. You have a remarkable gift for healing. »
G : « No, that’s Xena’s specialty. »
Democritus : « Well, when a man’s in pain, his soul needs healing, just like his body. And that’s what you did. It was a beautiful thing to watch. »
G : « Thank you. »
Gabrielle : « C’est mieux? »
Homme : « Bien mieux. Merci. »
Démocritos : « C’était merveilleux. »
G : « Quoi? »
Démocritos : « La manière dont tu as soulagé la douleur de cet homme. »
G : « C’était le baume. »
Démocritos : « Non, c’était ta voix et ton sourire– Tu lui a donné un sentiment de paix. Tu as un remarquable don pour la guérison. »
G : « Non, ça, c’est la spécialité de Xena. »
Démocritos : « Lorsqu’un homme souffre, son âme a besoin de soins, tout comme son corps. Et c’est ce que tu as fait. C’était une belle chose à voir. »
G : « Merci. »
Gabrielle prend des initiatives dangereuses, mais quel courage tout de même :
Man : « Miss, please, Miss– Someone has to go out there and get Pareus. »
Gabrielle : « Who’s Pareus? »
Man : « He’s my little boy. Please. He wasn’t brought in. But I know he’s still out there. Someone’s gotta go get him. »
G : « Where is he? »
Man : « He’s by the stand of trees, near the river. He was hiding when they took me away. »
G : « I’ll go get him. »
Man : « Thank you. »
Democritus : « Hey, hey. You can’t go out there. »
G : « His son is out there, wounded. »
Homme : « Mademoiselle, s’il-vous-plaît, Mademoiselle– Quelqu’un doit aller dehors et ramener Paréos. »
Gabrielle : « Qui est Paréos? »
Homme : « C’est mon petit garçon. S’il-vous-plaît. Il n’a pas été amené à l’intérieur. Mais je sais qu’il est encore là dehors. Quelqu’un doit aller le chercher. »
G : « Où est-il? »
Homme : « Il est vers les arbres, non loin de la rivière. Il se cachait lorsqu’on m’a emmené. »
G : « Je vais le chercher. »
Homme : « Merci. »
Démocritos : « Hey, hey. Tu ne peux pas aller dehors. »
G : « Son fils est dehors, blessé. »
C’est impressionnant quand même, elle se lance tête baissée pour sauver ce jeune garçon, qu’elle ne connaît ni d’ève ni d’Adam… Elle a bien apprit aux côtés de Xena, mais elle a du zapper la leçon sur « faut faire attention quand même ».
En voici l’illustration, et là, attention, début de la spirale du mouchoir :
Democritus : « I need help here! Somebody, help! »
Xena : « Gabrielle! Set her down. Gabrielle. Relax, relax. You’re safe here– you’re safe. You’re safe now. »
Démocritos : « J’ai besoin d’aide ici! Quelqu’un, à l’aide! »
Xena : « Gabrielle! Déposez-la. Gabrielle. Détends-toi. Tu es en sécurité ici– tu es en sûreté. Tu es en sécurité maintenant. »
La détresse dont fait preuve Xena ne peut que cacher de profonds sentiments pour Gabrielle, son éternelle barde.
On apprend que certes, elle est très gravement blessée, mais elle aurait pu éviter ça :
Xena : « You’re gonna be all right. Keep that soldier awake. If he falls asleep, he may never wake up. »
Galen : « She should have hit him an inch lower. She could have killed the monster. »
X : « She knew that– that’s why he’s still alive. »
Marmax : « Are you telling me that she’d rather die, than take the life of a man she doesn’t even know? »
X : « Gabrielle lives by her own code. That code doesn’t include killing. »
Xena : « Tout ira bien pour toi. Gardez le soldat réveillé. S’il s’endort, il pourrait ne jamais se réveiller. »
Galen : « Elle aurait du le frapper un poil en dessous. Elle aurait pu tuer le monstre. »
X : « Elle le savait– c’est pourquoi il est toujours en vie. »
Marmax : « Est-ce que tu es en train de dire qu’elle préférerait mourir plutôt que de prendre la vie d’un homme qu’elle ne connaît même pas? »
X : « Gabrielle vit selon son propre code. Et ce code n’inclut pas le meurtre. »
Quelle philosophie tout de même… Elle m’impressionne cette Gabby, elle était mal barrée au début, la pauvre, mais elle remonte en flèche là!
Xena se sent mal, et se sent surtout coupable de ce qui arrive à Gabrielle. Elle lui parle, même si elle ne l’entend pas, et lui présente ses regrets concernant ses choix, notamment au début de l’épisode. Gabrielle lui avait proposé de prendre plutôt la route sud, afin d’éviter les combats :
Xena : « Gabrielle. You know, if I could do it all over again, I’d take the southern route. I’m so sorry. »
Marmax : « She may well pull through. »
X : « You were right, I shouldn’t have brought her here. »
Marmax : « I guess we all make mistakes. »
X : « My pride may have killed my best friend. »
Xena : « Gabrielle. Tu sais, si c’était à refaire, je prendrais la route sud. Je suis vraiment désolée. »
Marmax : « Elle peut tout aussi bien s’en sortir. »
X : « Tu avais raison, je n’aurais pas du l’amener ici. »
Marmax : « Je suppose que nous faisons tous des erreurs. »
X : « Ma fierté a peut-être tué ma meilleure amie. »
Et voilà ZE passage de l’épisode, bien entendu, le magnifique sauvetage de Gabrielle par Xena, avec le premier massage cardiaque, que dire, si ce n’est : Bravo Xena!
Marmax : « What’s happening? »
Xena : « I don’t know! Gabrielle! »
Hippocrates : « She’s dead. »
X : « She is not dead– I wouldn’t let her. Come on, Gabrielle, wake up. Come on, wake up. Come on, wake up. You’re scaring me. Wake up. Wake up. Gabrielle, breathe. Come on. Come on, breathe, breathe. Maybe she just needs air. I need to get some air in her lungs. Come on, breathe! »
Hippocrates : « Please stop it. She’s dead, now. She’s in a much better place. »
X : « Get out of my way! You don’t know anything! Don’t you listen to him. Come on, I know you’re in there– prove it. You can show him. Come on. Wake up and breathe. You never ran from anything in your whole life. Come on, fight! »
Marmax : « Xena. »
X : « Fight! »
Marmax : « Xena! It’s time to stop now. Let her cross over peacefully. »
X: « What do you know? You’ve killed so many. »
Marmax : « So have you. Let it go. »
X : « No. No– Come on, Gabrielle. Come on. Come on. Don’t leave me. Don’t you leave me! Don’t leave me! Don’t leave me! Wake up! Wake up! Wake up! »
Galen : « You’re Aesclepius! You’ve come back to Earth! »
X : « Get up, Galen. I’m not Aesclepius– you should know that by now. It’s Gabrielle who performed the miracle— didn’t’cha? »
Marmax : « Qu’est-ce qui se passe? »
Xena : « Je ne sais pas! Gabrielle! »
Hippocrate : « Elle est morte. »
X : « Elle n’est pas morte– Je ne la laisserai pas. Allez, Gabrielle, réveille-toi. Allez, réveille-toi. Allez, réveille-toi. Tu me fais peur. Réveille-toi. Réveille-toi. Gabrielle, respire. Allez. Allez, respire, respire. Peut-être qu’elle a juste besoin d’air.Je dois lui amener un peu d’air dans les poumons. Allez, respire! »
Hippocrate : « S’il-te-plaît, arrête ça. Elle est morte, maintenant. Elle est dans un bien meilleur endroit. »
X : « Dégage! Tu ne sais rien! Ne t’avise pas de l’écouter. Allez, je sais que tu es là– prouve-le. Tu peux lui montrer. Allez. Réveille-toi et respire. Tu n’as jamais rien fuit de toute ta vie. Allez, bats-toi! »
Marmax : « Xena. »
X : « Bats-toi! »
Marmax : « Xena! Il est temps d’arrêter maintenant. Laisse-la traverser paisiblement. »
X : « Qu’est-ce que tu en sais? Tu en as tué tant. »
Marmax : « Tout comme toi. Laisse donc. »
X : « Non. Non– Allez, Gabrielle. Allez. Allez. Ne me laisse pas. Tu n’as pas intérêt à me laisser! Ne me laisse pas! Ne me laisse pas! Réveille-toi! Réveille-toi! Réveille-toi! »
Galen : « Tu es Asclépios! Tu es revenu sur Terre! »
X : « Lève-toi, Galen. Je ne suis pas Asclépios– tu devrais le savoir maintenant. C’est Gabrielle qui a accomplit ce miracle— n’est-ce pas? »
C’est bien entendu une scène à voir et revoir, plutôt que de la lire ici, hein?! Rah j’vous jure… La jeunesse aujourd’hui… Plus aucune initiative!
J’en pleure encore de cette magnifique scène!
Tout est bien qui finit bien, Gabrielle est sauvée, Hippocrate est formé :
Hippocrates : « Thank you. I’ve been thinking about– redesigning the inside of the temple and starting to teach– medical technique,
ethics. But most important of all, the honor of being a healer. Maybe, maybe I’ll make them take an oath. »
Xena : « I’m sure you’ll think of something. »
Hippocrate : « Merci. J’ai pensé à– refaire l’intérieur du temple et commencer à enseigner– une morale et des techniques médicales. Mais le plus important, l’honneur d’être un guérisseur. Peut-être, peut-être que je leur ferai faire un serment. »
Xena : « Je suis sûre que tu trouveras quelque chose. »
Xena est donc à l’origine de la création du fameux « Serment d’Hippocrate » bien connu de nos jours des médecins. Moi je dis, chapeau bas Xena!
Et on en arrive à la sortie pas très glorieuse de Gabrielle, légèrement bancale, accompagnée bien entendu de Xena :
Gabrielle : « Xena. »
Xena : « Yeah? »
G : « I wanted to thank you for saving my life– again. You always seem to be doing that. »
X : « It was your decision to come back. »
G : « Well, how could I leave you? We have so many wars to stop and despots to foil. You’re gonna need my help. »
X : « I couldn’t do it without you. But you’re gonna have to rest up for a while. »
G : « You know, you’re not gonna believe this, but, I had the most amazing dream when I was on the other side. There was this green, peaceful pasture, with the most beautiful trees. And I saw my Grandmother and my Uncle Morose, and– You wanna hear about it? »
X : « I can’t wait. »
G : « And Talus was there. Oh, he says hello, by the way. You know, we had a beautiful–«
Gabrielle : « Xena. »
Xena : « Oui? »
G : « Je voulais te remercier pour m’avoir sauvé la vie– encore. On dirait que tu fais toujours ça. »
X : « C’était ta décision de revenir. »
G : « Eh bien, comment aurais-je pu te quitter? Nous avons tant de guerres à arrêter et de despotes à faire céder. Tu vas avoir besoin de mon aide. »
X : « Je ne pourrais pas le faire sans toi. Mais tu vas devoir te reposer un moment. »
G : « Tu sais, tu ne vas pas croire ça, mais j’ai fait le plus incroyable des rêves lorsque j’étais de l’autre côté. Il y avait cette verte, et tranquille pâture, avec les arbres les plus beaux. Et j’ai vu ma grand-mère et mon Oncle Morose, et– tu veux en savoir plus? »
X : « J’ai hâte. »
G : Et Talos était là. Oh, au fait, il te passe le bonjour. Tu sais, nous avons eu un beau–«
Quand je regarde cette scène, j’ai l’impression qu’il y a pas mal de pudeur tout autour d’elles, elles se disent quelques petites choses, mais sans plus, ça pourrait être bien plus démonstratif je trouve. Gabrielle est quand même passé à un rien du trépas…
Par Barbie.